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Le deuil, ce lien qui ne se rompt pas


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Une mémoire affective à reconnaître


Le deuil n’est pas un processus linéaire. Il ne suit pas de règles fixes. Il peut se réactiver à l’occasion d’un détail, d’un lieu, d’une date, d’un mot. Il peut se manifester dans le corps avant même d’être identifié par la pensée.

Certaines personnes que j’accompagne parlent d’un poids dans la poitrine, d’un souffle court, d’un sommeil agité. D’autres évoquent une forme d’absence intérieure, une perte de repères, une difficulté à retrouver l’élan.

Ce n’est pas le manque qui fait souffrir, mais ce qui n’a pas pu être dit, vécu, compris et partagé. Le deuil agit comme une mémoire affective qui cherche à s'exprimer, à être reconnue, à trouver sa juste place.



Accompagner sans renier et sans effacer


En séance, il ne s’agit pas de “faire le deuil”. Il s’agit d’accueillir ce qui reste vivant. Ce qui s’est figé, ce qui s’est absenté, ce qui continue à agir en silence.

Accompagner une personne en deuil, c’est reconnaître le lien invisible qui persiste. C’est permettre à l’absence de coexister avec la vie. C’est offrir un espace stable, bienveillant, où la mémoire peut se déposer sans être niée ni forcée.

Ce chemin peut s’ouvrir par une thérapie douce : Maïeusthésie, Hypnose, ou encore Lahochi, des approches qui respectent le rythme de chacun et permettent au corps de retrouver sa capacité à ressentir sans se submerger.

Hypnothérapeute spécialisée à Nantes, à Rezé et à distance, j’accompagne celles et ceux qui traversent un deuil, quel qu’il soit, dans un cadre sécurisant, sans injonction, où chaque lien peut être entendu.

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